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Abysstate revient : n'en déplaise à certains, le trou creusé par le label monégasque ne restera pas exempt de tout cercueil... l'épitaphe «.sabordage.», c'était gênant mais bien moins - musicalement parlant - que les acouphènes et les relents de merde auxquels mes tympans ont droit quotidiennement.
Au pire, le studio/label fondé en 1996 aura droit à un enterrement de première classe et; entre temps, vous reprendrez bien quelques bon vieux glaviaux gras et charnus pour agrémenter l'insipide soupe qu'on vous sert.
Byron pour Abysstate. |
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